Solidarité au Bypass ! Stop aux fermetures abusives !
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Bypass
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LES AUTORITÉS
La pétition
VEUT-ON TUER LA NUIT A GENEVE ?!
APRES LE MOA, LES AUTORITÉS S'EN PRENNENT AU BYPASS POURTANT PARFAITEMENT EN RÈGLE! VEUX-T-ON TUER LA NUIT À GENEVE ?
En cette période de crise économique sans précédent, c'est 30 emplois qui
sont menacés par la décision disproportionnée de fermer trois semaines le
Bypass, tombée à 15h30 vendredi 13, afin que l'établissement ne puisse pas
réagir judiciairement pour le week end.
L'établissement n'a jamais été prévenu du risque de cette décision au
préalable, et n'a même pas été entendu et n'a donc même pas pu se défendre.
Serions-nous revenus au Moyen Age? Un commerce doit il accepter de se laisser condamner sans se défendre et se laisser fermer arbitrairement ?
Ni l¹ordre public, ni la sécurité, ni la moralité, ni la tranquillité
publique n’est menacé comme le dénonce ce rapport de police dirigé contre
l'établissement. Un peu de sérieux.
A l’origine du problème, ce rapport au service de commerce a été dressé listant les interventions de la police depuis deux ans sur les lieux.
Il est oublié évidemment de préciser dans celui-ci que la plupart des appels passés à la police pendant l'exploitation du club sont passés par le directeur de l'établissement ou la société de sécurité du club et que les forces de l'ordre sont justement appelés pour qu'il n'y ai aucun débordement.
Il est oublié aussi de préciser que le club fonctionne sans incident majeur depuis son rachat en 2005 !
La plupart de ces appels demandant de l’aide à la police sont passés lorsqu’il y a des refus de mauvaise clientèle ou de personnes ivres qui campent devant la porte et qui importune la bonne clientèle se présentant devant l’établissement.
La "peur du gendarme" provoquée à l'arrivée des forces de l'ordre réglant
dans 90% des cas le problème sans aucune intervention de leur part.
La plupart des problèmes listés dans ce rapport du fonctionnaire au service de commerce est donc dû à des personnes que l'établissement refuse !
Alors que reproche-t-on aujourd'hui au Bypass :
- Par prudence d'appeler les services de l'ordre pour éviter tout
débordement ?
- De ne jamais avoir eu de problèmes majeures depuis sa réouverture en
2005 ? Souvenons nous de ce cas d'une autre discothèque genevoise en 2011 ayant eu un mort devant sa porte suite à une rixe au centre ville et qui n'a pourtant jamais fermé un seul jour, y aurait il une justice à deux vitesses?
- D'avoir fait revivre le clubbing en accueillant les plus grandes stars et
Dj’s de la planète ?
- De refuser certaines soirées plus de 500 personnes pour être dans les
règles et avoir une parfaite sécurité à l'intérieur de l'établissement ?
(Imaginez un hypermarché qu'on ferme parce qu'il demande une intervention de la police pour canaliser une séance de dédicaces lors de la venue d'un
artiste international très connu ou pour gérer l'affluence le jour de
l'ouverture des soldes ? Du grand n'importe quoi !)
En moins d'un an, le Bypass a connu des contrôles poussés du service de commerce plusieurs fois dans l'année se présentant à deux heures du matin en plein samedi à plus de 20 personnes pour contrôler l'ensemble de l'établissement et la bonne déclaration de l'ensemble des salariés et repartant en ne relevant aucune infraction, des contrôles de douanes, des contrôles de la brigade des mineurs,...
Aujourd'hui, ces trois semaines de fermeture annoncées risquent de mettre en péril la société et la contraindre à déposer le bilan. Cela représente en chiffre d
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