Pétition
21
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Auteur :
Auteur(s) :
aljf-ivry
Destinataire(s) :
Banque de france
Ceci est l'histoire d'une femme qui, après quelques péripéties financières liées aux incidents de parcours du quotidien, s'est vu refuser un rachat de crédit.
Suite à son divorce, le chef d'agence de la succursale bancaire où elle avait ouvert un compte, lui a retiré, sans aucune explication, tous les acquis et les accords pris ensemble depuis de nombreuses années.
Malgré des sollicitations répétées auprès du directeur depuis 2009, non seulement la banque se refuse a soutenir sa cliente mais elle lui applique des taux d intérêts abusifs et n'hésite pas a la harceler moralement afin qu'elle ferme son compte, sous la menace « officieuse » d'affecter les comptes de son ex-époux...
Une lettre a été envoyée au directeur de l agence, et cette femme qui se sent trompée, a décidé de la rendre publique afin de dénoncer les abus et les pressions exercées sur les clients fragilisés par un accident de la vie.
Elle souhaite que de tels faits ne se reproduisent plus.
Son but est de témoigner publiquement pour aider les personnes fragilisées par une situation délicate, à ne plus subir le harcèlement de leurs banquiers peu délicats, pour que les personnes soient considérées non pas comme des machines a sous, mais comme des êtres humains.
Onéreux monsieur,
Non il ne s'agit pas d'une erreur, onéreux est le terme approprié (l'adjectif « cher », signifiant aussi une marque d'affection, n'a point de raison d'être dans ce genre de relation, je ne vous affectionne pas autant que vous affectionnez l'argent ! ).
Peut-être me répondrez-vous « pauvre madame » !!… sourire ironique !
A votre avis, si pauvre je suis, n'en ressentez-vous pas une part de responsabilité ?
Quand, à la fin du mois, vous me surtaxez d'agios divers n'avez-vous pas le sentiment de vous enrichir sur la misère humaine ?
« Non » me direz-vous … vous n'êtes qu'au bas de l'échelle il est vrai ! Mais sachez que les barreaux de celle-ci peuvent subir quelques « crashs » (pas financiers mais professionnels).
En fait, Monsieur, vous m'inspirez une certaine pitié, vos compétences ne sont pas à la hauteur du statut qui vous a été décerné et tous vos diplômes, aussi bien encadrés soient-ils, ne feront pas de vous une personne humaine !! Quel grand malheur !!
Depuis novembre 2009, date à laquelle le divorce entre mon mari et moi-même a été prononcé, je vous ai demandé de bien vouloir m'accorder un prêt afin de remettre mon compte « à flots » et d'honorer mes dettes…
Mon conseiller, a tenté tout ce qu'il a pu, il m'a même orientée vers un courtier après que vous, Monsieur le Directeur, ayez refusé de satisfaire ma demande.
Ce jeune, mérite un bel avenir professionnel car, outre des qualités relatives à son métier, il fait preuve de valeurs humaines et serait à même de vous en enseigner quelques notions ... Quoique vous semblez assez obtus !
A ce jour j'ai contacté un autre organisme bancaire qui n'a trouvé aucun souci pour me prêter la somme demandée, vous, monsieur, avez même été jusqu'à me menacer d'ennuyer, financièrement parlant, mon ex-époux puisque le compte en commun n'était pas clôturé (ce compte que vous refusiez vous-même de clôturer), avouez quand même -comme un adage le qualifie très bien- « un chat aurait eu de quoi se mordre le bout de la queue ! »…
Sincèrement je suis persuadée que votre direction n'a jamais « eu vent » de vos agissements quelques peu condamnables. Mais vous pouvez me faire confiance pour leur faire savoir que, grâce à votre incompatibilité