Pétition
597
signatures
Avec 403 signatures de plus, cette pétition sera plus facilement recommandée à des signataires engagés.
Auteur :
Auteur(s) :
Intersyndicale du MAA
Destinataire(s) :
Monsieur le ministre de l'agriculture et de l'agroalimentaire
Les signataires de cette pétition, exigent, au ministère de l'agriculture et de l'agroalimentaire :
1 - Une réponse immédiate aux situations de précarité qui ouvre l’accès à l’emploi titulaire à tous les contractuels affectés sur des postes permanents :
· Ouverture de postes dans tous les corps et dans toutes les spécialités, à chaque session de recrutement, en nombre équivalent celui des agents à titulariser ;
· Élargissement du champ des négociations aux personnels non-titulaires de tous les Établissements publics relevant du Ministère chargé de l’agriculture ;
· Création de postes, y compris, lorsque c’est nécessaire, par transformation des emplois et/ou des crédits utilisés pour asseoir la rémunération des agents contractuels concernés de telle sorte que toute personne ayant réussi un des dispositifs de titularisation puisse se voir proposer un poste ;
· Intégration, pour l’ensemble des filières d’emplois, dans les corps correspondant aux qualifications détenues ou acquises par l’expérience professionnelle et la formation continue ;
· Organisation de modalités de titularisation valorisant véritablement l’expérience professionnelle ;
· Dans cette attente, arrêt immédiat de tout licenciement et non renouvellement de contrats.
2 - La mise en œuvre d’une politique de l’emploi public empêchant la reconstitution de situations de précarité :
· Arrêt des suppressions d’emplois et du non remplacement d’un fonctionnaire sur deux. L’emploi public se justifie par le besoin de service public. C’est de la réponse à ce besoin que doit dépendre le nombre d’emplois publics et non d’une logique « comptable » et financière, voire idéologique ;
· Organisation de concours de recrutement d’emplois titulaires répondant à ces besoins ;
3- La révision des critères de la loi de mars 2012 qui ont conduit à l’exclusion du champ actuel de la titularisation de nombreux contractuels, et, dans l’attente, l’amélioration des droits à rémunération et des droits sociaux