ÉPANDAGES AÉRIENS CHIMIQUES & GÉO-INGENIERIE
Face à un silence total des gouvernements et des médias officialisés concernant ces trainées chimiques (appelées aussi CHEMTRAILS) qui envahissent notre ciel chaque jour et de plus en plus, nous constatons malgré tout que le phénomène devenu quotidien de la géo-ingénierie par la "Gestion du rayonnement solaire par les aérosols atmosphériques" est cependant parlementé par les institutions officielles comme quelque chose de connu et d'établi alors que la population dans son ensemble n'est absolument pas au courant de ce qu'il se passe au dessus de leur tête.
Le mot Chemtrails étant qualifié de théorie complotiste par les institutions ne sert qu'à détourner la véracité des faits contre ceux qui ont le courage de parler. C'est une technique assez connue de manipulation mentale. Selon des Analyses sur la qualité de l'eau de pluie et de filaments retrouvés après épandages aérien sur plusieurs années l'association Acseipica (Voir les analyses) révèle une augmentation toujours plus accentuée de la proportion d’aluminium ainsi que des autres métaux recherchés (baryum, strontium et titane): en ce qui concerne l’aluminium, on passe de 10 microgrammes par litre en 2012, à 18 en 2013, 88 en 2014 et maintenant 232 ! Ces analyses inquiétantes pour notre santé et notre environnement sont reliées inéluctablement à des épandages réalisés chaque jour dans notre ciel.
INJECTION D’AEROSOLS STRATOSPHERIQUES :
Les éruptions volcaniques suggèrent qu’il est possible de refroidir le climat en injectant des gaz soufrés dans la stratosphère (la partie haute de l'atmosphère).
Cette méthode consisterait à disperser des gaz ou des particules soufrés en haute altitude dans la stratosphère de manière à réfléchir une partie du rayonnement solaire et à entraîner un refroidissement de la planète.
L'efficacité de cette technique pour refroidir la planète est avérée, mais de nombreux effets collatéraux néfastes sont attendus, en particulier un retard dans le rétablissement de la couche d'ozone stratosphérique et des modifications dans les distributions régionales des précipitations. Comme pour la technique précédente, il y aurait un rattrapage climatique dans le cas d’une interruption prématurée de l’injection dans la mesure où les concentrations en GES ne répondront que très lentement aux réductions futures des émissions. (Réflexion systémique sur les enjeux et méthodes de la géo-ingénierie de l'environnement ARP REAGIR 2014)