Parce qu’il peut avoir des conséquences imprévisibles et graves sur la santé, parce que le médecin vaccinateur se doit de respecter le serment d’Hippocrate, « avant tout ne pas nuire », et qu’il engage ainsi sa responsabilité : l’acte vaccinal doit redevenir un acte médical librement consenti. Il est évident que répondre de manière tranchée et définitive à la question du bénéfice global des vaccins, hors d'une prise de position partisane est impossible. Si c'était le cas, le débat serait déjà clos. En fait, ce qui crée la confusion et rend impossible tout accord entre les points de vue différents est la généralisation du problème, posé en positionnement général pour ou contre la vaccination. La question est cependant plus complexe. À titre individuel, la question se pose de manière différente selon l'individu, la maladie, et le contexte. Il n'y a pas de réponse générale, il y a un choix optimal dans chaque situation selon la balance bénéfice / risque. Des menaces de plus en plus graves pèsent sur notre santé et sur l’avenir de l’être humain : vache folle, sang contaminé, amiante, hormone de croissance, pollutions diverses, Organismes Génétiquement Modifiés (OGM)… autant de titres qui font la une de la presse et qui ont fait naître une prise de conscience dans l’opinion. Mais les vaccinations sont encore considérées comme le moyen privilégié de prévenir les risques dus aux maladies infectieuses. Or il n’en est rien, de nombreux travaux scientifiques le prouvent, et d’éminents spécialistes contestent cette croyance. Il est indispensable d’informer le public des graves dangers que font courir les vaccinations en provoquant, notamment, un affaiblissement général de l’immunité naturelle. Le nombre de vaccinations ne cesse d’augmenter (38 injections d’antigènes recommandées de la naissance à 6 ans) et des voix s'élèvent pour relier cette pratique au développement des maladies auto-immunes, du cancer, de la maladie d’Alzheimer et de la sclérose en plaques. La polémique autour du vaccin anti-hépatite B a mis en lumière les divergences d’opinion au sein même du corps médical.
Notre santé nous appartient, nous en sommes responsables, nous avons la liberté de choisir.
La question de la fiabilité de ces vaccins est tout d’abord posée. La succession des scandales sanitaires et des complications observées après vaccination montre une insécurité vaccinale. En multipliant les injections, et ce dès le plus jeune âge, nous rentrons en zone inconnue. Par ailleurs, la défiance de la population est considérable depuis les scandales sanitaires liée à la campagne vaccinale contre l’hépatite B initiée en 1994 au prix de plus d’un millier de cas de scléroses en plaques, de maladies de Guillain-Barré, de scléroses latérales amyotrophiques et d’autres affections auto-immunes telles que les myofasciites à macrophages… ; et celui du vaccin contre la grippe H1N1 et ses 94 millions de doses d’un vaccin expérimental, commandés au prix fort, près de 2,2 milliards d’euros payés sur les deniers publics. D’autres motifs d’inquiétude pèsent sur les vaccins en matière d’adjuvants — ces additifs toxiques ajoutés pour renforcer la réponse immunitaire — à l’instar des sels d’aluminium vaccinaux dont les conséquences sur la santé sont maintenant avérées, comme l’indique la solide jurisprudence établie par le Conseil d’État et la Cour de justice de l’Union européenne.
À qui profite cette frénésie vaccinale ?Quelles sont les réels motifs de l'obligation vaccinale?
Rappelons que 200 vaccins sont aujourd’hui en voie de développement par les firmes pharmaceutiques alors qu’il n’en existait que quelques dizaines il y a encore quinze ans. Le chiffre d’affaire mondial lié à la vente de vaccins est passé de 6 milliards d’euros en 2006 à 20 milliards en 2012. Et le marché atteindra 56 milliards en 2017.