10 ans à la tête de la SNCF, 3 gouvernements plus tard, épinglé par la cour des comptes (budget communication), sommé de s’expliquer à plusieurs reprises, l’indéboulonnable Pepy est toujours au commande.
Le doigt sur la couture du pantalon, toujours aux ordres, Un énarque payé 450 000 euros par an qui n’a rien prouvé à la tête de la SNCF si ce n’est que, sous son mandat, les trains sont de plus en plus en retard, que les bugs informatiques se multiplient comme les accidents ferroviaires (Brétigny, Eckwersheim) et les dysfonctionnements (gare Montparnasse, Bercy, Saint Lazarre).
Aujourd'hui, il n'hésite pas à mentir aux cheminots, aux médias et aux usagers, il n'hésite pas à collaborer avec le gouvernement pour faire passer des réformes indignes de la SNCF.
Un "vrai patron" défendrait son entreprise, Pépy lui, veut la vendre sans aucune garantie à des actionnaires aux mépris de ses salariés et des usagers.